PSEUDO/PRÉNOM ≈ chuckiez/laëtitia ÂGE ≈ 19 ans SEXE ≈ troisième sexe PLANÈTE/PAYS/RÉGION ≈ Planète des Laëti, dans le pays des Titi et plus précisément dans la région des Titoune LES LICORNES, TU AIMES ? ≈ j'aime seulement les licornes qui pètent des pailettes en forme de langue de porc T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ≈ les pandas c'est noir et blanc, c'est gros, c'est poilu, ça mange les banbou ... enfin fait je suis déjà un panda !! TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ≈ pur hasard alors que je me baladais dans Bazzart ON EST BAISABLE OU PAS ? ≈ je dirais même plus ! vous êtes FUCKINGEMENT baisable   UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ≈ si l'envie vous viens, vous pouvez toutes -et tous je ne fais pas dans la discrimination- venir dans mon lit   si j'ai d'autres suggestions je sais ou vous trouver (dans mon lit quoi   ) UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ≈ LOVE FUCK ME HARDER  

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<b>jamie campbell bower</b> ≈ lucius h. bowman

« Vous savez pourquoi vous êtes là monsieur Bowman? » Une salle, ou plutôt un bureau assez vide et surtout sans vie. Des murs blanc, un bureau au fond de la pièce, un canapé face un fauteuil en plein milieux de la salle, deux personnes assise en face de l'autre. Un vieux monsieur au crâne dégarni avec des lunettes ronde digne de Harry Potter. En face, il y a moi. Lucius Bowman vingt quatre ans, riche hérité qui s'ennuie en détaillant le décors autour de moi. « Non pas vraiment, mais je suis sur que vous le savez et que vous aller me le dire. » Dis-je d'un ton détaché et sans grand intérêt. C'était le ton que je prenais avec tout les personnes que je considéré comme adulte : mon père, mes oncles ou tantes, les gens qui essayaient de me donner des leçons, bref beaucoup de monde. J'ai remarqué que quand tu n'étais ouvert à la discutions, les gens te laissaient tranquille, et personnellement ça m'aller. Surtout dans ce cas là. Quel cas ? Celui là, moi en face d'un pseudo psy tout ça parce que j'ai dis à mon père que je quittais la maison pour aller vivre avec eux. « Eh bien je vois que vous n'avez pas très envie de parler, alors ce qu'on va faire c'est que je vais vous parler de votre vie et vous m'arrêterez quand cela vous semble faux et évidement vous me direz pourquoi. » Il est sérieux ? Apparemment oui. Ca risque d'être long alors je m'enfonce un peu plus dans le fauteuil et regarde autour de moi encore une fois. « Vous vous appelez Lucius, de votre nom complet Lucius Hadès Avery-Bowman et...» Ma mâchoire se contracta. Il l'avait fait exprès. L'enfoiré ! « Lucius Hadès Bowman, point ! » Il avait réussit a me faire réagir et il le savait. « Pourtant sur votre acte de naissance, vous porter aussi le nom de famille de votre mère, Averys. » Je ne répondis pas, serra un peu plus les dents et me levai. Je pris ma veste et sortis de la pièce sans rien dire. Une fois dehors, j'enfile ma veste. J'aurais pu prendre la voiture pour rentrés chez moi mais je ne le fis pas. Je demanderais à Carlos, notre majore d'homme de venir la récupéré plus tard. Je marchais donc en direction de la grande villa dans lequel je vivais avec mon père, enfin pas vraiment mais bon. Tout en marchant, je repensais à ce qu'avait dis le psy. J'étais partis le voir simplement parce que mon père avait voulu et m'y avait forcé. C'était pas la première fois qu'il faisait ça, mais c'était la première fois que j'accepté d'y aller. Quand je lui avais annoncé que je voulais quitter la ville avec mes potes, il m'avait regardé de travers et m'avait pris un rendrez-vous avec le psy. C'était toujours comme ça avec lui, dès que je prenais une décision avec laquel il n'était pas d'accord, il m'envoyait voir un psy. Au fond, c'est juste parce qu'il ne savait pas me gérer, je le sais.

Flash Back, dix huit ans plus tôt. Hôpital de Ottawa

« Lucius, il faut que tu saches que ta mère ne reviendra pas. » Je le regardai avec des grand yeux, tout rond. Qu'est-ce que je pouvais dire ? Qu'est-ce que je pouvais faire ? Du haut de mes six ans, je ne savais pas. Alors je le regardai tout simplement. J'aurais voulu lui demander ce qu'il voulait dire par là ? Comment ça elle ne reviendrais pas ? J'aurais voulu qu'il me prenne dans ses bras, mais au lieu de ça, il m'a fait une accolade à la Chabal et m'a envoyé voir un psy. Merci papa !

Retour au présent

Et depuis ce jour, ça a toujours était comme ça. Finalement, sans m'en rendre compte j'avais pris le chemin du lac. J'avais pas envie de rentré chez moi maintenant, j'avais pas la force d'affronter la colère de mon père pour le moment. Si seulement ma mère était encore là. Je me demande quelque fois ce qu'aurais était ma vie si elle n'étais pas partis. Peut être que je serais plus heureux qu'aujourd'hui ? Peut être que mon père serait plus présent, même si j'en doute. Même quand elle était encore là, il n'était pas souvent là. J'ai toujours eu un relation spéciale avec mon père, et pas spéciale dans le bon sens du terme. Il a toujours était froid avec moi, encore plus quand ma mère est partis. Mais heureusement j'ai son argent pour compensé, pas qu'il me le donne parce qu'il veut me montrer qu'il m'aime. Non il s'en fou de ça. Il a d'autre chat a foutter mon père. Il me donne tout cet argent pour pas que je passe mon temps dans ses pattes. Mon père a toujours était froid avec tout le monde, je sais même pas comment il a fait pour avoir un enfant. Nah sérieusement, je me pose des questions quelque fois.

Après avoir marché pendant une ou deux heure, je finis par rentré chez moi. C'était encore le matin, il était environ dix heure. Mon père était partis, il n'y avait que Carlos, notre majore d'homme, et Maria notre femme de ménage. Je leur dis bonjours, demande à Carlos d'aller chercher ma voiture comme prévu et m'enferme dans ma chambre. Là je fis mes valises et cartons. De toute façon, même si mon père ne veut pas que je parte, il ne va pas me couper les vivre et même s'il le faisait, je m'en fou ! Trois heure plus tard, mes valises et cartons sont fait, Carlos est revenu avec ma voiture, mes potes vont venir avec le camion pour prendre mes affaires : aujourd'hui je change de pays que mon père le veuille ou non, aujourd'hui je déménage !

Sept mois plus tard

« Lux putain tu pourrais au moins débarrasser la table, et Jer' tu pourrais l'aider ! Heureusement qu'il y a Alex qui est là pour m'aider sinon je sais pas ce que je ferais ! » Assis, les pieds sur la table basse devant la télévision, je n'écoutais pas vraiment ce que disait la jeune femme qui était en train de rangée notre maison. La nôtre, pas la sienne. L'appartement de Jeremiah, Alexander et moi. Ça faisait maintenant sept mois qu'on s'était installé tous les trois et il fallait dire qu'on s'y plaisait bien. J'avais fini mes études d'infirmier et j’espérais trouver un travail de nuit comme infirmier. Ça m'arrangeait : je voyais pas beaucoup de monde, je n'avais pas beaucoup d'amis et les meilleurs amis que j'avais c'était mes colocataires. Pourtant, j'aimais sortis avec eux et faire la fête : boire, fumer c'était un peu toute ma vie quoi ! Les filles ? Ouais c'était de temps en temps, rien de bien sérieux. Et la fille qui criait là ? C'était la copine de Jeremiah ... enfin copine pas vraiment. Ils m'avaient dit qu'il était ensemble, mais y avait quelque chose de bizarre. En plus, Alex il est fou d'elle, mais bon en dirait que personne ne le remarque à part moi. Au pire je m'en fous, ce n'est pas mes oignons. De toute façon, il est quinze heure et j'ai bientôt un entretient d'embauche. Je me levais doucement, enfile mon manteau, sors mon paquet de cigarettes qui se trouvait dans ma poche, et en allume une. « Putain Lux fume pas ici ! » Je ris légèrement en haussant les épaules. Avant de sortir je lançai à la copine de Jer « Tu aurais du sortir avec Alex ! » Sur ses mots je sors de l'appartement sous les rires d'Alex et Jer et les insultes de sa copine. J'aime ma vie !